vendredi 5 septembre 2008

Patxi? Patxi? Oui, c'est moi







Ce blog a deux ans aujourd’hui.
Derrière Patxi, cet alter ego désormais démodé, un narrateur qui, aujourd’hui, se met à nu.

Voila.
Je m’appelle Laurent Bergereaux.
J’ai 26 ans et demi.
Je suis V.I (Volontaire International pour les non initiés) auprès de la Mission économique de Mexico City.
Voila.

Ceci est mon dernier message.

Tu m’as peut-être pris pour un journaliste-pigiste, pour un chercheur-biologiste ou un touriste-voyagiste ? Mais non.
Je suis VI. J’ai fait quelques pays du sous continent, shooté quelques photos, fait du bagpack, postulé sur CIVIWEB. Et puis, avec l’appui de mon Tonton, mais surtout sur ma valeur intrinsèque, j’ai fini par l’avoir, ce super poste.
Envié par tous les amis de l’Ecole, faut le dire, quand même, le Patxi.
Et me voila à Mexico!

La mission économique, st’u veux, c’est un Bureau de représentation économique de la République Française, sous double tutelle : Ministère des Affaires Etrangères ET Bercy. Donc sur le papier, c’est du BIG quoi.
Missions, prestations d'appui au développement international des entreprises, Cadrage général et macro-économique sur le(s) pays concerné(s) : présentation du pays, situation économique et financière, échanges et investissements, institutions, grandes entreprises. Voila, officiellement, le plan de travail : on est la pour aider, informer, défendre les entreprises françaises, donc les emplois aussi, quoi.

Bon, des fois on se dit qu'elles ont pas vraiment besoin de nous, mais on est là en tout cas.
Donc c’est pas que du gain, y a des emplois derrière, faut jamais oublier ça, jamais. Moi je dis surtout, quand on me demande ce que je fais, que "je m’éclate", et que tout est cool quoi.
De plus en plus de responsabilités, des challenges, j’adore ça, les défis comme ça.
Soustraire, vendre, écouter.
Et puis on voit l’ambassadeur des fois. Sympa d’ailleurs. Je lui ai serré la main une fois. Même.



J’ai une super carte de visite, avec Marianne de profil et tout, mon nom, mon mail, mon téléphone, ma fonction et tout, en deux langues, espagnol ET francais. Au cas où ça serve dans les deux sens. Je l’ai montré à mes parents, sont plutôt fiers de ma réussite.


Bon je fais surtout des fiches synthèses sur telle ou telle entreprise, assiste à des réunions de cadres, et surtout, surtout, je m’éclate la ou je suis, au Mexique ! Dla balle ! Ya tout là bas, des meufs, de la tequila, des plages, des cactus, des boites electro même !Viva Mexico !




Chanmé. Des fois t’arrives bourré au boulot, tard, mais tard, personne s’en rend compte, c’est trop cool. T’as qu’à te mettre en face de l’ordi, t’es de dos par rapport aux autres, et tu peux décuver tranquille. C’est trop fort les fêtes qu’il y a partout, ‘ui défoncé dès le mercredi…avec les stagiaires et la petite bande de défroqués qu'on est là, c'est niquel chrome.

Je suis diplômé de l’école de commerce de Bordeaux, l’ESSEC (qui occupe le rang numéro 14 des écoles en France, ça n’est pas rien ! Wouh guys, we kicked Poitiers ESC’s ass, sont que 15ème cette année ! Yes !)


Bon, ben, tu as attendu ça longtemps: voila mon portrait!!



Coming out, surtout pour les petites curieuses...









Certains voient poindre l'ambition, dans ce port altier...mais c'est faux, chui un gars tranquille dans le fonds. Je veux pas d'emmerde, juste m'éclater!












J’ai plein de possessions, pardon, de passions : diverses, variées, top cool.
J’aime les filles latinas (super chaudes, j’en change chaque semaine, pas de temps à perdre !faut profiter un max !), la photo (je mitraille sans frein), le skate, Europe 1 (que j’écoute et podcaste sur Internet, surtout maintenant qu’il y a Askolovitch, qui a mérité de la patrie après l’affaire Siné…il a été justement récompensé, il vient de la gauche, comme moi, mais c’est un VRAI moderne, jveux dire, comme moi), je kiffe aussi l’électro drum n’bass huffy-studio, les concerts, les voyages mais roots, les blogues, Come fly with me, l'autobiographie vidéo de Michael Jordan, mais surtout ça ouais, les voyages, dans la djeungeul par exemple. Ah oui j’aime l’eau aussi. C’est trop bon. L’eau. D’ailleurs mes douches, y en a pour 20 minutes, c’est trop bon. Et je mets du AXE chocolate au fait, je suis passionné par cette odeur. J’aime les débats (mais seulement s’ils sont constructifs), sur l’économie, le sport, les loisirs.

J’ai découvert l’Amérique latine en faisant un « chantier humanitaire ». Oui, c’est complètement ouf cette histoire. Lors d’une session de formation a l’école, en 7ème semestre, un prof de management, un gars génial, humain tch’vois, et tout, et il m’a trop transmis le gout et l’envie de tout lâcher, comme ça, ouais je sais, c’est ouf, pour partir un mois au Nicaragua. En août. Un pays super pauvre.

Le cours, ça portait sur « Ressources humaines : comment tapiner hardcore auprès de l’employeur Glôôbal? Comment blinder son CéVé ? ».
En gros, c’était des méthodes sur « comment se vendre », se présenter sous son meilleur jour, dans sa lettre de motiv’ ; comment élaborer un CV percutant, un CV efficace qui tabasse, les petites expériences qui font la différence et tout.

Moi mon truc, ma spé 4ème semestre, c’était la finance (avec option « netéconomie »). Depuis, je suis plutôt grave attiré par tout ce qui est marketing, com, public relachions aussi, après une petite réorientation et après avoir consulté le service (payant mais pas trop cher) de notre conseiller pédago on line.


En tout cas le prof, ce manager génial, nous dit, texto, ce jour là, qui a tout changé : « aujourd’hui, la tendance, c’est la quête du sens, le retour aux vraies valeurs. Et la ya une carte à jouer, les jeunes. Cet été, plutôt qu’un job ou un stage classique, banal quoi, HU-MA-NI-SEZ-votre CV : partez, donnez de votre temps. Auprès de n’importe quelle Cause Humanitaire, n’importe ou dans le Tiers monde…Par là bas, c’est pas les problèmes qui manquent ! On a besoin de bras compétents, de brain, and stuff ! Et l’entreprise Glôball, l’employeur du futur un jour, il trouvera ça original, ce parcours, cette curiosité, cette démarche, ce risque pris. Croyez-moi, c’est bon pour le CV ça…Sortut des balises, monter qu'on en a. J’ai des propositions tip-top de chantiers humanitaires, dès cet été, OK ? Just call me, un e-mail, venez me voir, les gars qui sont intéressés».

Et là, j’ai vu la lumière. C’était pile-poil tip-top grave ce que je cherchais.
Voyager, tout en me mettant un petit « toque » (une touche-touchette quoi, si tu veux, non hispanophone que tu es) « social » sur mon CV, avant de commencer la vraie vie. Le « ticket humaniste », c’est bon à valoriser pour un profil RP-marketing à mon avis. Enfin, ajouté à la solide formation qu'on a reçu à l'Ecole.

J’ai réussi à monter vite fait un dossier de demande de financement auprès du Conseil Général de ma ville d’origine, auprès du Conseil Régional Aquitaine-académie de Bordeaux, et puis aussi auprès de Bourses Défis Jeunes aventures-projet humanitaire de la Ville de Paris (me suis débrouillé pour avoir une quittance de Résidence universitaire là bas). Du coup j’en ai touché du fric, qui m’a bien servi là bas pasque c’est super pas cher, attends, j’y viens, j’m’éclate, super.


Du coup c’était au Nicaragua, le projet consistait à monter une bibliothèque au sein d’un centre social, tenu par une ONG locale, y avait des enfants des rues et tout, et c’était ‘achement fort, avec les gamins, pendant le séjour, et surtout quand j’ai du leur dire que je partais faire la côte, après 20 jours, enfin après les 2 premières semaines ; ils s’étaient attachés, c’était trop mignon. Et ils chialaient fort et tout. Ils s’étaient habitués à « Laorenn », comme ils prononçaient mon nom, chanmé, accoutumés au gringo qu’ils étaient. Dur quand même.
Je leur ai dit que je serai comme un grand frère sympa, dès le premier jour, et ils m’ont fait confiance…Et puis je leur ai montré comment je jongle bien, balle au pied, et puis avec les mains aussi. Et alors tout ça, ils se sont bien attachés, et sentis abandonnés, encore, pask’en fait c’était des enfants de la rue auparavant maltraités, abandonnés par leurs parents et tuteurs successifs. Alors ils ont du mal à faire la part des choses, ils ont pas compris que moi j’étais que de passage.
Mais no soucy, c’est de la foly les trips que je me suis fait après.
Bon, la biblio, c'était compliqué, les partenariats à monter, pas facile.
mais ils continuent là bas, je crois.
je leur ai envoyé des photos souvenirs de quand je jongle.

En tout cas c’était super, l’expérience et tout, y avait 5 autres volontaires, 3 français, une finlandaise (trop bonne d’ailleurs, Bjarka, jl’ai kèn dans le dortoir du centre, ouais je sais, j’méclate) et une belge flamande un peu grosse, peu ragoûtante.

Depuis ce stage, j’ai tout fait pour revenir en terre tropicale latina.
J’ai trouvé un job pour une grosse boite en Bolivie, qui faisait des puits communautaires, près des installations de forage, pour les paysans du coin. Bon je peux le dire désormais, puisque ce blog s’arrête et que je peux tout dévoiler enfin : c’était pour Total, en fait, c’est des projets de responsabilité sociale, pour que les gens ne se révol..pour le développement.

Un super chouette stage professionnel, payé et tout, j’ai connu plein de trucs sympas, des collègues et aussi des Indiens, même. Pas toujours commodes, mais fascinant le truc. Et puis 6 mois après, j’ai fait de l’immobilier à Montevideo (moi je vais vite, très vite, chui dans l’immobilier, ma carrière est en jeu..ah ah !). Me suis fait la main un peu. Avant d’avoir ce poste. Mais c’était un peu trop « requin » ce milieu pour moi. J’aime le biz, mais là c’était limite quand même.

J’ai beaucoup voyagé en Amérique, de l’Alaska à la Terre de feu, d’où les nombreuses photos.
Ouais, je sais, c’est pas mal du tout.


Faut dire, ce qui aide, c’est cette incroyable révolution technologique qui nous entoure, permanente. La technologie a vachement simplifié l’utilisation de nombreux outils de production. Là où des heures d’apprentissage étaient nécessaires, quelques clics d’ordinateur le font pour vous aujourd’hui : c’est génial ! Cette évolution n’a pas pour autant été mise au service de la création, mais du déversement d’anecdotes toutes plus narcisso-pornos les unes que les autres sur sa petite vie, ses amis, ses amours, ses emmerdes, ses petites anecdotes. Les blogs de témoignage, par exemple, j’adore. J’estime du coup que que la photo, par exemple, c’est désormais donné à tout le monde. La création, on s’en fout, tout le monde a le droit de tout dire, de tout faire, clic clac numérique, c’est le gros avantage de l’époque. On est vachement plus libres qu’avant, ya pas à dire. Bon j’entends déjà les gauchistes professionnels, ces rabat joie de mes couilles, parler de « fétichisation de l’outil » et autres billevesées. Je considère que la simple possession de l’outil fait l’artisan, désormais. Le savoir faire vient tout seul. La voiture fait le pilote de rallye ou le possesseur de belles filles, la belle montre fait le riche plein de pouvoirs et d’argent, le blouson fait le rappeur, le stylo à plume plaqué or fait l’écrivain et l’appareil photo fait le photographe.


Le photographe qui cadre, qui écoute, qui éprouve de l’empathie, ça me semble touchant si tu veux, à la Marc Gibaud...mais complètement dépas...

Les relations humaines, les choses qui se vivent à notre époque, c’est du deux mille à l’heure, c’est du ciblé qui doit correspondre à des attentes, à la demande, à la mode et aux humeurs du moment, sinon t’es largué, chiant, inutile. Jcrois qufaut être clair là-dessus. Faut pas svoiler la face, mec.

Rien ne passe hors de la sphère marchande, du commerce, du porte-feuille boursier, même pas mon appareil photo. Il y aura toujours des pleureuses pour s’en attrister. Tant pis pour eux. Il faut accompagner ce mouvement, sans qu’il y ait trop de casse, tu vois ? Moi je mets des pubs google partout ou je peux, et puis je vais vendre les photos, comme me l’ont suggéré plein d’amis (VIE, VI en entreprises, ils sont plein en Amérique latine). Ca va le faire !

Jcrois qu’on peut être un vendu, mais faire de la profondeur ; produire du sens en batterie même (faire comme si on faisait avec, mais sans, tu vois ? "faire" avec des tripes, des émotions, du cœur, et surtout, du cul, mais tout ça, en le feignant, car on en est dépourvu; c’est ce qu’attend le public, le juge suprême de ce qui est in ou out, en somme).


La photo m’apporte la maîtrise du temps et la possession du monde : jm’éclate, quoi…surtout prendre les gens qui détestent ça, les Indiens notamment. C’est trop rigolo. Et les lamas aussi.


Sinon, politiquement, je définirais ma démarche comme libérale (au sens politique), mais aussi libertaire, avec un gros socle de gauche sur les thèmes de société et autres, selon, et ouvert sur le plan économique (les protectionnismes nationalistes rétrogrades, je comprends tout simplement pas du tout ça dans le village global de 2008). Je suis non partisan (faut pas charrier, c’est ringard toutes ces conneries de barrières artificielles), et estime que gauche-droite et tous ces clivages surannées, c’est bel et bien fini.

Une démarche saine a mon sens, c’est tourner les forces des individus vers la recherche d’une plus grande liberté, ce dont tu conviendras qu’on ne peut que se féliciter. Il y a des acteurs portés par ça dans tout le camp démocrate, dans tous les partis. ce sont eux les vrais moteurs du changement.

Certains m’objecteront de ne pas perdre de vue que cette démarche, poussée jusqu’à l’ultra individualisme ouvre la porte à la négation de la liberté. Mais c’est du n’importe quoi de frustré à la con, ça. Moi je les emmerde.
De la même façon, mettre les bons gestionnaires de chaque camp à bosser ensemble, ça a de la gueule. Comme Kouchner, un vrai mec de gauche, des centristes-Marais réglos, et pis la nouvelle UMP, qui s’est débarrassé de ses scories gaulliennes, du programme du CNR et du Préambule de la Constitution de 1946…non, à ce niveau, on prend les meilleurs, et sans idéologie a priori, juste, une politique fondée sur le bon sens.

Bon, moi j’aimais bien Strauss Khan, car le PS a besoin de se moderniser. Mais je suis fier du changement qu'il apporte au FMI, et Lamy à l'OMC. DSK, lui qui militait pour l'abolition de la dette des pays du Sud, dans les années 1980, il a quand même réfléchi depuis.
Mais à première vue, ça va dans le bon sens, vu qu’au congrès la ligne Delanoë-Sego s’impose peu à peu. Ca fera du bien aux vieux dinosaures archaïques, style Mélenchon.


Sinon y a toujours des gauchistes aigris qui font chier les jeunes libres dans leurs têtes, dans leurs actes. Moi je préfère éviter tout débat de fonds, ça sert à rien. De toute façon, et ils le savent, ils ont perdu la bataille des valeurs et des idées, alors…

Moi je m’éclate, je fais de mal a personne, je les emmerde !

Il faut s’adapter aux technologies de son époque, la télévision (dont l’aspiration fut un temps, d’apporter la culture au coeur des foyers…quels utopitres !), le IPHONE, que les gauchistes attardés et criticards appellent parfois ces déversoirs de pulsions marchandes. Internet, les téléphones portables…Moi je comprends pas qu’on veuille se priver de ces méga-plaisirs là.

Moi je veux bosser dans la pub après ça, mais en Amérique latine. Y a trop de bons plans, sont pas trop regardants côté impôts, droit du travail et tout, par ici. Et ils en bouffent du gadget, un vrai régal…Sérieux, un marché porteur, porteur, l’Amérique latine.

Tous ces espaces captifs de temps de cerveaux humain disponible à rentabiliser comme tel, partout, tout le temps. Mon concept à moi, que je vais vendre de ci de là, jméclate, suis épanoui, et ça se sent : organiser la rencontre systématique du voyageur-consommateur avec la publicité.

Le métro latino est pour cela un laboratoire assez vide, vierge encore, mais qui est voué à être performant (affiche qui clignote, qui parle…) utilisant les supports de flicage (portillon d’entrée, porte de sortie, fichier clients du pass automatique). Petit à petit, toutes les composantes du système libéral (publicité, répression, marchandisation) tendront à fusionner accélérant le désenchantement du monde. Je kiffe déjà.

La publicité et ses manifestations font souvent parties de cette économie purement parasitaire, pardon, déficitaire, pour le moment, mais ce segment de marché très juteux dans la région, je le sens, a beaucoup de potentiel de croissance. Je kiffe.
En tout cas, sur ce blog, je partage mon goût immodéré, ma consommation de ces terres et de ces femmes latinas.
Je consomme à fond, tout ce qu’il y a de bon par ici, à Mexico City.


J’ai un JEEP Renegade, et je t’emmerde !
Je mets en invitation des dizaines de gens que je connais pas sur Facebook, parce que c'est la nouvelle jauge, le nouveau critère, le nouveau papier carbonne du bonheur et de ta sociabilité! Combien tu pèses sur facebook?
J'ai des bibelots électroniques, partout, des chips, partout, du nutella, partout qui dégouline, une Wi Fi, je t'emmerde!

Trop consommer ? Quoi ? Ce serait mauvais pour la planète ?
Vous voudriez revenir à la bougie? C’est ça hein votre programme? De toute façon, on n'arrête pas le progrès! Et comme le progrès est défini dans notre société comme étant tout ce qui est nouveau, et qu'il faut consommer ces nouveautés pour créer de la Croissance et de l'Emploi, nous n'avons pas le choix. Il faut consommer: n'importe quoi, n'importe quand. C’est génial ! Je m’éclate.

Voila. Je suis Patxi. Je suis un blogueur moyen, je suis l’homme sans qualités de Musil, je suis l’homme moyen des démocraties-marché. Toi et moi et une bonne partie du reste, on devient la somme statistique de citoyens-panélistes, et de neurones sur pied dévorés par l’ennui et l’envie. Economique, cybernétique, politique, nomade transnational, à l’aise partout, je tapine, je transige, je négocie, tout,
jm’éclate, je suis VI à la Mission économique, le monde me tend les bras.

La guerre de tous contre tous devient, chez moi, logique, rationnelle, douce, presque désirable. Je suis un truand culturel.
J’ai gagné.
Jusqu’à nouvel ordre.
Je suis Patxi, je suis VI, et j’ai gagné...


MOI A PUERTO VALLARTA, JALISCO, MEXICO

13 commentaires:

Admin a dit…

T'es beau, t'es VI, tu m'impressionnes!

M a dit…

MDR
Patxi se détxire
Une fois de plus tu nous épates !

Anonyme a dit…

une fin en feu d'artifice !

Anonyme a dit…

Moi qui te croyais enceinte pufff, pis de toutes façons je t'imaginais plus comme ça : http://www.petitnicolas.com/


Pour un hyper médiatique va falloir que tu améliores ton positionnement sur internet, ça doit être vexant de ne pas apparaitre en première page de google :)
Bonne route tombe pas en chemin y a des routes dangereuses au Mexique par exemple entre Puebla et Oaxaca :)

Unknown a dit…

à part la video de Jordan et le Nutella, j'adore ce que tu fais, ce que tu es et ce que tu seras...j't'ai invité comme nouveau ami sur fessebouc...tu veux être mon ami? dis oui, dis oui, j'te kiff trop....

MiKE a dit…

M... y'a quand meme des pistonnés : j'ai fait un VI aussi mais point de Bellas Artes y Guapas Chicas, je suis tombé dans le nord de l'Allemagne : m'ont envoyé me les congeler et refreezer pas bien loin du polo norte ! Argh.. chanceux !

Unknown a dit…

la belge flamande peu ragoutante, ma liste FesseBouc et moi … on t'emmerde!!

Anonyme a dit…

pas loin d'être une apothéose!

c'est balaud cette épidémie de "point final" dans le landernau sud américain!!

Rosa Isabel a dit…

ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh con que tú eres Patxi...pues estuvo monísima tu presentación queridoooo... me encantóooooooo (todo porque hablas español) :d Escribes cheverísimoooo...yo que pensaba que eras un mexicano en París... ¡Plancha quemada alucina! Me salió al revés la vainaa pero buenoooooo ni modo ahí ahhhh

muaaa

Patxi a dit…

évidemment, la boutique ne ferme pas.
Je le clarifie, vu les quelques mails inquiets ou curieux reçus depuis ce "coming out"..
Un abrazo

Anonyme a dit…

chapeau bas beauté divine...

Anonyme a dit…

Saisissant comme ce profil rance me semble familier... De Bogota à Buenos Aires, s'y reconnaîtront t-ils seulement, ceux si souvent croisés et vomis, que tu as épinglés à la virgule près?
Saludos cordiales, pero algo incazzatos quand même.
Mathilde

Patxi a dit…

mathilde,
De Bogota à Buenos Aires, s'y reconnaîtront t-ils seulement, ceux si souvent croisés et vomis, que tu as épinglés à la virgule près?
non, évidememnt pas, puisque le truand culturel a gagné. por ahora.
Pero no mames, que significa este incazzatos?