lundi 23 juillet 2007

The girl from Ipanema




Salvador de Bahia, Brésil





The girl from Ipanema, a garota de Ipanema, la fille d'Ipanema, là, de la chanson.

En fait.

Que je vous le dise.

C'est ma femme.






C'est bien elle.
Qui inspira et inspire.
Le gars.
Qui chantonne, là.
Elle.
D'ailleurs son cul,
furibond,
me donne
raison...

Pura Verdade!

Lyrics em portugues bem brasileiro:

Olha que coisa mais linda
Mais cheia de graça
E ela menina
que vem e que passa
Num doce balanço
caminho do mar

Moça do corpo dourado
Do sol de Ipanema
O seu balançado é mais
que um poema
E a coisa mais linda
que eu ja vi passar

Ah' porque estou tão sozinho
Ah' porque tudo é tão triste
Ah' a beleza que existe
A beleza que não é
so minha
Que também passa sozinha

Ah' se ela soubesse
Que quando ela passa
O mundo sorrindo
se enche de graça
E fica mais lindo
por causa do amor


En français:

Regardes, quelle chose plus belle
Plus remplie de grâçe
Que cette fille
qui vient et qui passe
Dans un doux balancement,
sur le chemin de la mer

Jeune fille au corps doré
Par le soleil d'Ipanema
Son balancement est plus
qu'un poème
C'est la chose la plus belle
que j'ai vu passer

Ah, pourquoi je suis si seul
Ah, pourquoi tout est si triste
Ah,la beauté qui existe
La beauté qui n'est pas
seulement mienne
Qui passe aussi seule.

Ah, si elle savait
Que quand elle passe
Le monde entier
se remplit de grâçe
Et devient plus beau
por causa do l'amour.

2 commentaires:

Francis J. a dit…

Pas plus tard qu'hier, j'entendais quelqu'un chantonner "Moça de corpo dourado" tandis que je faisais la queue à un guichet.

C'était un vieux beau qui chantait. Il avait l'air content de lui, à chanter comme ça. Pour un peu, je l'aurais presque envié, vu que j'étais pas d'humeur...

Et puis, en sortant, mon épouse, qui connaît tout le monde ici, m'a dit qu'il avait été médecin et condamné pour viol, mais qu'il n'avait fait que 8 jours de taule.

Moça de corpo dourado...

Patxi a dit…

Evidemment, vu sous cet angle..
En tout cas, le concept de vieux beau inclut une tendance à la perversité non réciproque.
On l'imagine bien.
Oye j'en profite pour vous remercier, Mr franncis, pour votre blog que je lis, désormais, davantage que LIBE.FR..evidemment..
abrazo